Ta le choix, me foutre la paix ou un point dans ta gueule || PV Nyuh

« Et merde ! »

Je plaque ma main sur ma figure tandis que je vis un buisson avec des baies cramés. Je frotta mes mains brûlante, vive les pouvoirs et les émotions, tu ressens de la tristesse et pouf, tu a du feu… Au moins se qui est sur je ne mourrais pas de froid. Vous devez vous demandez combien de temps était passé depuis l’engueulade avec l’autre, environs, 3,4 jours… Enfaite j’en savais rien, bref, cela fessait plusieurs jours que j’errais sur les terre libres… Tsssss… je fis la moue malgré la tristesse qui me menaçait de m’engloutir à chaque instant, oublie se garçon ma p’tite ! Me hurlais ma conscience,  mais mon cœur me disait qu’il ne mentait pas sur certain point… C’est vrais… je m’assis sur une pierre, et posa mes joues dans mes mains et réfléchit tout en fessant bouger mon genoux à intervalle régulier, s’était vraie quoi, il puait l’alcool quand je l’ai vue et qu’il m’a confondus avec l’autre pute –un point où ont sera toujours d’accord. Mais bon, au moins mon pétage de câble avait permis de dire se que je ressentais pour lui, mais il était surement trop con pour le voir, nan très idiot… Méga idiot, giga trop con, bref, d’une idiotie que même un pigeon aurait compris pourquoi j’avais péter un câble ! Mais au moins, comme je le disais avant de partir sur un débat au sujet de son idiotie suprême , cela m’avait permis de savoir se qui pensais de moi, un truc de différent avec Lester… Mon cœur se serra de nouveau, j’avais eux tords de dire sa… Lorsque je sentis mes mains me brûler de nouveau, je décidai de bouger avant de faire brûler tout les buissons de l’environs, non, il fallait que je m’entraîne à contrôler ces pouvoirs sans rien brûler… Enfin, si… mais quelque chose d’important –par exemple la veste d’Alex’ – ou bien de brûler la nature –les buissons des baies… je vais en avoir besoin pour bouffer. Mais aller où ? Je mis une de mes mèches blonde derrière mon oreille et me mis à marcher, ou allé ? Ou allé ? C’est lorsque je remarqua qu’un vent froid m’enveloppait petit à petit, relevant la tête, je vis tout de suite une longue plaine sombre entouré d’une brume sombre. Aussitôt je fit une grimace, La Plaine Hantée…. MAIS QUEL BONNE IDEES ! Ne dite pas que je suis idiote, non, car si ont fait un calcul Plaine Hantée + chemin = La célèbre de Maison Hantée crains de tous ! Relevant la tête fier, je commença à me mettre en route, mais tout calme s’envola lorsqu’un frisson me parcouru… Comment être calme là dedans ?! Je marchais au début là je courais presque, non, je courais vraiment ! Bientôt, au milieu de la brume, je visu ne forme noir apparaitre petit à petit, la Maison Hantée. Un moment je leva les yeux au ciel et me demanda qu’elle heures il était… Une mèche me tomba sur les yeux que je coinça ensuite derrière mon oreille. D’un pas décidé je me dirigea vers la porte, lorsque je monta un petit escalier se dernier grinça sous mes converse rouge –qui était plus marron enfaite…-, et moins sur de moi, je poussa la porte, mais qui tomba tout droit… Vive la rouille ! En enjambant la porte –si ont pouvait toujours appeler sa-, je rentra dans la maison, aucun bruit, seule le sol grinçant sous mes pieds résonnait… Enfin non, il y avait un autre bruit. En me retournant, je lança une boule de feu sur la défensive expulsant la personne qui tomba sur le sol grinçant, quand je me pencha, je fis les gros yeux

« Qu’est-se que tu ais là ?»

dis-je tandis que des flammes commençait à apparaitre dans mes mains.

3 jours étaient passés depuis que Ever était partie. Tout le village était au courant maintenant. Et des rumeurs avaient été lancées a mon sujet. Comme quoi je m'étais enguelée avec ma « copine », et qu'à cause de la façon dont je lui avais parlé elle était partie. Ou encore que je l'avais trompé. Enfin bref, plein de trucs comme ça, faux, avaient été lancées dans tout le village, et c'était totalement idiot. Les gens du village étaient cons, ils écoutaient n'importe quoi... Enfin bref. J'avais envoyé des patrouilles sur toute la région Fire pour la retrouver. Mais ils ne l'avaient pas trouvée. Je doutais qu'elle soit allée dans les régions Light et Ice... Mais la région Darkened, on pouvait très bien y allée. Alors j'avais également envoyé des patrouilles. Mais maintenant, midi sonnait, et j'hésitais a y aller la chercher moi même. Cette idée me tournait dans la tête. Est-ce que ça valait le coup de quitter la tribu sans prévenir pour retrouver Ever ? Oui. Ça valait le coup. Convaincu, je saisis ma veste et sorti sans croisé personne. Un vent frais soufflait, mais je m'en fichais. Les cheveux ébouriffiés, je marcha longtemps et arriva vers 17 heures a la frontière de la région Darkened. Je pénétra dans celle ci, et suivis mes pas. Suivant mon intuition, j'arriva a la Grotte Origine. Je n'avais croisé personne, aucun signe d'Ever. Totalement désespéré, je m'assis sur un rocher et leva la tête vers le ciel.

« C'est la lieutenante du clan que tu m'as fait crée, elle est importante, alors bordel envoie moi un signe oiseau de malheur. »

Murmurais-je en soupirant.

Je me retourna et découvrit des buissons cramés. Mais seule la partie d'avant l'était, comme s'il n'y avait eu qu'un feu devant. C'était bizarre. Remarque, et si c'était Ever qui s'était énervé et avait cramé les buissons ? Bon c'était con comme pensée mais Ever en était capable. Je la connaissais bien maintenant. Je décida de suivre le « chemin » formé par les buissons cramés, et arriva bientôt a la Plaine Hantée. Elle était venue ici ? Bizarre. Je marcha jusqu'à l'étrange château Hanté. La porte d'entrée était ouverte. Il était dit qu'à chaque fois que quelqu'un touchait la porte, elle tombait sur le sol et se remettait normal ensuite. C'était magique... Et si elle était entrée dans ce foutu château, cette tête de mulle ? Je trembla en repensant a toutes les rumeurs basées sur ce château. On disait que des pièges y étaient installés, que des étranges inconnus nous torturaient lorsqu'on y entrait et qu'on finissait par creuver dans d'atroces souffrances. En plus, chaque personne ayant entré dans à l'intérieur n'était jamais revenu, preuve qu'il s'y passait des trucs étranges. Puis on ne retrouvait jamais de corps, jamais rien... C'est pourquoi ça me faisait flipper. Mais bon, allez, j'y vais, je suis courageux. Je m’avança et entra. La porte se referma violemment derrière moi et je sursauta. Brr, fait froid ici. Je n'eus pas le temps d'observer les yeux que je pus voir une grosse lumière venir vers moi, l'instant d'après j'hurla en sentait une douleur sur mes pieds. Je vis le monde tourner et me sentit tomber sur le sol. Pétard, je n'avais pas de chance avec le feu et pourtant je possédait ce foutu pouvoir. Je reconnus immédiatement la voix de la personne qui venait de me bombarder de feu. Je m'assis sur le sol et cria de rage.

« Purée c'est quoi ton problème ? »

Je leva les yeux et la vit, toujours la même dégaine. Sans le vouloir je lui souris, heureux de la revoir. J'avais envie de me lever et la serrer dans mes bras, mais bien sur je ne le fis pas. Je n'avais pas envie de me prendre une tarte, et vu la tête qu'elle tirait elle ne devait pas être du même avis que moi. Mais peu importe, je l'avais retrouvée, et je pouvais la ramener à la raison, lui faire comprendre que je l'aimais plus que tout. Ce n'était pas vraiment le bon endroit pour une déclaration, mais je n'avais pas le choix car je savais très bien qu'elle pourrait repartir.

« Content que tu sois en vie, et de t'avoir retrouver... »

Murmurais-je. Je regretta aussitôt mes paroles.

Manquait plus que lui dans tout se bordel… Alexandre… Nan sa fait trop bizarre je vais continuer à dire Alex’ enfaite, enfin bon. Manquais plus que lui, comme si j’avais besoin de lui et de son venin ici… Qui à parlé de venin ? Bon okay j’avoue que je suis une vipère aussi, mais bon se n’est pas le sujet. ! Donc, malgré l’obscurité je pus légèrement le distingué, il portait une veste –qui avait survécue à l’entrainement- et il était assis sur le sol. Mon problème ? S’est toi le problème vieux. J’aurais tant voulut lui hurler mais lorsque j’ouvris la bouche aucun son ne sortie, se qui m’énerva tellement que je m’en mordis les lèvres. Merde. Te laisse pas avoir Ever, il t’a confondus avec une pute après avoir affirmé que tu pouvais lui faire confiance ! Je rouvris la bouche dans une énième tentative de balancer quelque pour le faire partir mais je ne trouvai rien, mon cœur était juste remplis de soulagement, du soulagement ?  Whats the…  Je n’eux pas le temps de penser plus loin, lorsque je remarquai qu’il souriait… IL SOURIT ?! Attend attend, j’ai raté quoi un épisode… quoique, j’ai dus en ratés 3… 3 jours = 3 épisodes, bon okay j’arrête avec mes calcul qui ont aucun sens… Je souffla sur une mèche qui me retomba sur les yeux et la cala derrière mon oreille sans le quitter des yeux, le silence s’installait, se qui me donna des frissons dans le dos, il fessait sombre… okay j’ai peur du noir et alors ?... Mais là ont étaient juste un tout petit au milieu de la Maison Hantée… Donc se n’est pas trop le moment de régler des comptes avec quelqu’un ni de se frapper, mais bon comme toujours faut que quelqu’un me contredise, mister à l’air bien décider à régler le « petit » soucis de l’autre jour avec «Content que tu sois en vie, et de t'avoir retrouvé... »… puis-je dire, whats the fuck ?... Le mec y se contredit, un coup y me dit qu’il en marre de moi, et qu’il veut que je me casse –se que j’avais fait mais bon y semblait pas satisfait…(si un jour un mec est satisfait dite le moi… Je l’inscrit dans le livre des records !)- et là y me dit qu’il est content de me retrouver et que je sois vivante…  Pourquoi y pensais que j’étais trop faible pour survivre 3 jours ? Se qui me fit encore plus hausser mon sourcils gauche et je le regarda perplexe –même si j’ignorais si il pouvait voir, mais je m’en foutais-. J’ouvris la bouche pour tenter de dire quelque chose , mais aucun son ne sortit, je voulais tant m’excuser pour se que j’ai dit… Je voulais courir dans ces bras trouver refuge comme j’avais ressentit lors de notre premier VRAIE échange –je parle de celui ou je lui aie foutus mon point dans sa gueule… D’ailleurs il a encore le nez rouge à cause de sa. Après un moment de silence, ma seule réaction fut de croiser les bras pour tenter de refroidir mes mains qui me brûlait toujours, malgré que je sois soulagé et heureuse qu’il soit là, je lui en voulais, et j’étais perdus, ont disait toujours que j’avais un sale caractère, mais au moins ont savait le cernés le mien, alors que lui s’était toujours difficile de savoir si il disait sa sous l’énervement ou bien si il le pensait vraiment. Je pencha la tête sur le coté comme si sa pouvait dire se qu’il avait vraiment pensés en se moment là. Après un moment des mots put enfin sortir de ma bouche.



« C’est pas le sentiment que j’ai eux il y a… 3 jours ?»

dis-je en essayant d’employer un ton de colère mais je n’arriva pas à cacher la pointe de soulagement

Elle ne semblait pas convaincu par mes paroles. Et ça se comprenait, il y a trois jours à peine je lui avais dit que je ne voulais plus la voir, qu’elle parte. D’ailleurs elle me le reprocha, mais je voyais dans sa voix du soulagement. Etait-elle soulagée de me revoir ? Ou alors me faisais-je des fichus idées ? Bien souvent j’arrivais à discerner le sentiment d’une personne rien que dans sa voix mais là, avec elle, je n’y arrivais pas. C’était comme si autre chose me tracassait. Sa présence me rendait fou, même si je ne le montrais en rien. Je voyais son ombre, sa silhouette qui m’avait tant manquée, mais son visage était caché dans l’ombre. Il fallait que je m’approche, que je revois ses beaux yeux bleus. C’est pourquoi je me levai difficilement et resta figée quelques secondes. Gêné, je me débarrassai de la poussière sur mes habits

« On dirait que jamais personne ne nettoie ici. »

Murmurais-je en me rendant compte que ce que je venais de dire était idiot. Qui nettoierait un vieux château avec des fantômes à l’intérieur ?
Je regarda Ever, et du point de vue ou j’étais je pus voir qu’elle était perplexe. J’avais envie de lui dire ce que je ressentais depuis le début, mais je ne pense pas que c’était vraiment le bon endroit. Mais comment la faire revenir ? Je n’étais pas sure qu’elle le veuille vraiment. Bon, je n’avais pas vraiment le choix. Ma déclaration se ferait dans un vieux château hanté, ce n’était pas grave. Au moins ce serait un endroit peu commun, et ça changerait de toutes les autres. Bon, comment lancer le sujet ? Dire ce que je ressentais, c’était facile à penser, mais pas facile à dire. Bon, je dis quoi ? Et si je m’excusais pour la soirée, ou je ne sais d’ailleurs pas ce que j’ai fait ? Rha si j’avais su avant de venir, j’aurais préparé un discours et l’aurait appris par cœur. Là, face à elle, j’étais totalement déstabilisé. Bon, allez, je suis un homme courageux. Ce n’est pas une fille qui va me faire perdre mes moyens.

«Ever, je… »

Si, c’est bien une fille qui me fait perdre mes moyens ! Je voulais parler, j’étais déterminé mais ma bouche ne suivait pas. Je me voyais courir en rond dans la salle pour me calmer, mais bon là ça ferait juste penser à un débile mental. Alors je restai là, me mordant la lèvre, debout face à elle. Je soupirai et pris ma respiration, puis je m’avançai vers elle. Je ne fus bientôt qu’à quelques mètres. Je pouvais voir ses beaux yeux, et mon cœur se mit à battre. Allez, vas-y, c’est le moment. Je fermai les yeux quelques secondes, les rouvrit.

«Je suis désolé Ever, pour ce que j’ai pu dire à cette soirée.»

Bon, c’est déjà ça. Les excuses. Au moins, elle pourrait peut-être comprendre que j’étais sincèrement désolé, et que je regrettais. Ensuite, que dire ?

«Tu vois, si je suis ici, c’est parce que je voulais te voir, je tiens beaucoup à toi. »

ç a, ça devrait lui faire plaisir pas vrai ? Que je lui dise que je tenais à elle. Sinon je ne la comprenais pas, en tout cas moi ça m’aurait fait grave plaisir. Bon maintenant, je dis quoi ? Je ne vais pas lui dire que je l’aime quand même ? Je me prendrais surement une tarte dans la tronche, ou pire encore… Ou alors c’est ce qu’elle attendait ? Je repris encore une fois mon souffle et déclara :

«Je ne pensais pas ce que j’ai dit, je veux que tu… »

J’ entendis alors un craquement et baissa les yeux vers le sol. Il était fissuré. J’eus une étrange situation, comme quoi on ne devrait pas rester ici. En effet, un autre craquement se fit entendre, une fissure nous entourant tous les deux. Le parquet allait tomber, j’en étais sûr. Mais avant que je puisse réagir, il s’exécuta. Je n’eus que le temps d’hurler « Attention ! » Que la salle autour de nous disparut. Je me sentis alors tombé dans un bruit sourd, puis, plus rien. Le noir total.

Je le fixais toujours, lorsqu’il se releva, malgré la pénombre je pus bien voir qu’il me dépassait largement, mais sa je m’en foutais, mais se que je m’en foutus moins s’était sa remarque idiote… Bien sur que personne nettoyais ici qui aurait envie de passer sa journée ici à faire le ménage ? je me demandais si il avait tenté de faire une blague pour que j’oublie tout ou bien pour briser le silence qui s’était installé. Je laissa tomba l’affaire, pas très envie de réfléchir, enfaite, dans l’instant présent je pouvais pas… Parce il s’était approché de moi. Je pus distinguer chaque trais de son visage et ces yeux marrons… Cela me surprendrais toujours qu’il n’est pas de petite amie, ou bien que je sois amoureuse de lui, et je pense que je n’étais pas la seule dans Tout le monde d’Elaways à être amoureux de lui enfaite. C’est vrais quoi ? C’est le mec idéal ! Il bouffait sans grossir, il était beau-gosse, gentille… Ouh la, tu t’emporte Ever… pas si parfait que sa. Mon cœur se serra de nouveau quand je repensai à la soirée il y a 3 jours… Mouaif par tellement parfait que sa. Comme si il lisait dans mes pensées, il s’excusa pour l’autre, je fis une drôle de grimace mais pourtant je ne quittais pas son regard, y m’ensorcelait et malgré le fait qu’il m’ait dit m’a fait mal je ne pouvais pas m’empêcher de l’aimer… VIVE LES SENTIMENTS ! Ouarck, je les emmerdes mes sentiments, j’avais toujours les mains qui me chauffait, je lui en voulais oui, et je ne savais pas si je devais le croire ou pas enfaite… Mais son ton était honnête, comme s’il regrettait, il REGRETTE ! C’est plus lui que je voulais frapper s’était moi, que j’étais conne ! Mais jamais je n’admettrais que je me suis un peu importé l’autre soirée, j’avais crut qu’il y avait quelque chose entre nous et sa m’a fait péter un plomb de jalousie, est-se qu’il s’était rendus compte ? Surement oui, vu qu’il était là. Ont croise pas quelqu’un au hasard surtout dans la Maison Hantée, à moins qu’ont soit fous tout les deux se qui était une bonne supposition. J’avais pensée plus vite que lui, et après sa phrase ont continua à se fixer droit dans les yeux, je tentai de chercher un sentiment mais je ne perçût rien, mais je savais qu’il ressentais quelque chose… Mais quoi ? Il reprit encore une fois sa respiration mais un craquement sinistre le coupa. En même temps ont baissa le regard vers le sol, il était fissuré. Sans qu’ont puissent faire quoique soit, la salle disparut autour de nous et je me sentis tomber puis je sentis l’impacte de l’eau lorsqu’ont toucha le fond. Je fus un moment déstabiliser, de l’eau au fond d’une maison ? PDM ! Je nageai pour remonter à la surface malgré la panique qui me prenait. Je respira un grand coup lorsque ma tête émergea hors de l’eau et je me hissa sur le bord, les membres de mon corps raidis par le froid… Je restai un moment coucher sur le sol tentant de reprendre ma respiration… Mais c’est lorsque je remarqua l’absence d’Alex… Ou était-il ? Je me leva soudainement les vêtements mouillé et observer les alentours, il fessait sombre, et seule le bruit des gouttes résonnait.



« ALEX’ !»
appelais-je

Mais seule le bruit des gouttes me répondit… il ne pouvait être que dans l’eau ! Prenant mon courage à deux mains je replongeai dans l’eau. Mais s’était la même obscurité, je ne put rien voir. Remontant à la surface, je réfléchis… Que faire ? Que faire ? J’eux une idée lorsque mon pieds se prit dans un débris du sol en bois qui avait craqué sous nos pieds. Je le prit et le brûla aussitôt, je put pris pas le temps d’observer les alentours, je laissa le bois enflammée sur le bord au sec, et j’en pris d’autre pour agrandir le feu. Lorsque la lumière fut assez forte, je replonga dans l’eau. Le froid me saisit et je serra les dents pour ne pas remonter à la surface pour me blottir contre le feu… Soudain je vis quelque chose qui ne bougeait pas Alex’ ! Le cœur serra je nageai le plus vite possible pour le rejoindre, il était inconscient comme je l’avais parié. Je glissai mes bras sous ces aisselles et utilisa toute ma forces pour le remonter à la surface malgré le manque d’air qui commençait à me torturer la poitrine. Malgré mes membres endolorie pas le froid, le soulagement m’émergea lorsque ma tête émergea de l’eau, j’avais réussis ! Toujours en tenant Alex’, je le hissa vers le bord de l’eau, prés du feu. Je m’agenouilla , sa tête poser sur mes jambes, je vérifier si il respirait, rien. La panique me prit, non, non , non, il pouvait pas mourir ! Il ne pouvait pas ! Lorsque je sentis les larmes couler sur mes joues je savais bien que j’étais arrivé trop tard.. Je me posa me front contre le siens.



« Je te pardonne… je t’en supplie reviens… ne me laisse pas…»
murmurais-je

J’étais assis, comme d’habitude, au premier rang dans la salle de Mr Shepard. (Dédicace à Nyuh. :3). Près de moi, John Watson (deuxième dédie à Nyuh :3), un intello. L’intello du lycée plus précisément. C’était mon meilleur ami, lui à qui je confiais tout. Malgré toutes ses bonnes notes, en dehors des cours c’était un vrai taré. En plus avec son look de beau gosse, il attirait tout le monde. Moi à côté, je n’existais pas. Bon niveau physique je ne pouvais pas me plaindre, je n’étais pas moche.  Mais j’étais tellement timide que personne ne remarquait jamais ma présence. Alors je passais toujours inaperçue dans l’ombre de John. Mais bon. Enfin bref, nous parlions de Victor Hugo, pendant que je jouais avec mes stylos. Je détestais la philosophie, c’était si ennuyeux et difficile.  Je jetai un œil à l’horloge.  Rha 10 minutes à peine s’étaient écoulés depuis que j’étais entré en cours, quel merde.

« Hé, regarde il…  »

Commença John, lorsqu’il s’interrompit en fixant un point derrière moi.
Je me retournai. Je n’avais pas entendu, mais quelqu’un était entré dans la sale. C’était une fille, ravissante, aux yeux bleus. Je ne l’avais jamais vue. Elle entra en s’excusant, les joues rouges et s’approcha en laissant un mot sur le bureau du professeur. Celui-ci lui indiqua de s’assoir au fond de la classe. Elle passa près de moi, et je pus voir à quel point elle était belle. Je la fixai, longtemps, lorsque John me donna un coup de coude. Je revenus sur terre et tourna la tête. Mr Shepard se leva, lut le papier et déclara :

«Très bien, voici Ever,  votre nouvelle camarade. »

Ever, c’était un classe nom ça. Je me tournai vers elle pour lui sourire. Le cours passa rapidement, perdu dans mes pensées, je n’écoutai absolument rien. Seule la sonnerie me ramena sur terre. Je me levai  et sortit, puis attendit la nouvelle. Lorsqu’elle sortit, je la regardai et me présenta.

«Coucou, moi c’est Alexandre, tu viens d’où ? »

Elle me répondit, et nous parlâmes longuement dans le couloir, jusqu’au cours suivant. Elle était si belle, si gentille. Dans le cours de Français, je ne faisais que me retourner et lui sourire. Et d’ailleurs, elle me le rendit. Content, je décidai de lui envoyer un papier. Je saisis alors un stylo, arracha une feuille et écrivit « Ennuyeux ce cour pas vrai ? », puis fit une boulette de papier, me retourna et l’envoya sur la table d’Ever lorsque le prof ne regardait pas. Elle l’ouvrit, sourit, répondit et me l’envoya. Et l’on se parla durant toute l’heure, sans se faire prendre, sous les regards des gens de notre classe.  J’étais aux anges, je souriais sans même m’en rendre compte. Son nom, son visage, sa voix me hantait. Et je ne voulais qu’une chose, la prendre dans mes bras.
C’ est là que j’entendis sa voix, me hurlant de revenir, de ne pas la laisser, qu’elle me pardonnait. Je ne comprenais pas. Revenir où ? Et pourquoi ? Pardonner de quoi ? Je sentis alors une douce odeur contre moi. Lorsque je tournai la tête, elle était près de moi, me tenant la main, me souriant. Je la regardai, lui sourit également. Elle avait les larmes aux yeux, que se passait-il ? Je fronçai les sourcils et continua de la fixer en murmurant son nom, murmurant de m’expliquer.  Je sentis alors un mal de tête, je crus tomber, et je fermai les yeux, et attendit que ça se passe. Bientôt, je n’eus plus cette sensation, mais j’eus une horrible douleur dans tout mon corps. Puis c’était comme si j’avais bu la tasse. Je rouvris les yeux, me releva en recrachant de l’eau sur le sol. La lumière avait laissé place à de l’obscurité. L’endroit où je me trouvais n’était éclairé que par un petit feu. Totalement dérouté, je laissai retomber ma tête et sentit quelque chose qui était loin d’être le sol. Un oreiller ? Je levai les yeux et tomba nez à nez avec Ever, dont des larmes coulaient le long de ses joues. Je lui souris, ne comprenant pas vraiment où nous étions. Puis je me rappelai de tout. Il y a trois jours, dans le château, la fissure, l’éboulement. Je me relevai et demanda où nous nous trouvions. Je vis une rivière coulée près de nous, des sinistres murs. Tout ça me faisait flipper.

«Ever tu sais que… y a de nombreuses légendes sur cet endroit… »

J’entendis alors comme un bruit étrange. Je tournai la tête, et put voir une ombre. Oh non, ça n’allait pas commencer. Je me mis debout et recula, terrifié. J’avais toujours eu peur de ces choses, c’était ma phobie. Je sais tout le monde en a peur mais moi, c’était totalement paralysant. Je ne pouvais pas voir un film avec des esprits et tout ça, ne passait pas… et là je me retrouvais face à l’un deux. Je reculai, et sentit bientôt le vide derrière moi. Je tombai alors en arrière, dans l’eau, sur un plat. Je bu une nouvelle fois la tasse, battit des mains, mais c’est comme si quelque chose m’aspirait vers le font.  Je baissai la tête et put voir une ombre noir m’entourant les jambes. Je vis ensuite eux yeux rouges luirent dans l’eau. Je « hurla » aspirant de l’eau au passage, et continua de me débattre. La panique me gagnait et j’étais en manque d’air. Au bout de quelques minutes, je sentis que je remontais. Il m’avait lâché.  Ben quoi, ce n’était pas drôle de me tuer maintenant ? Tu veux me faire flipper ? Enfin bref, je regagnai la surface, respira tout l’air que je pus, m’accrocha au rebord et grimpa. Je recrachai de l’eau, essoufflé, et la colère me monta. Je venais d’affronter mes deux phobies en une soirée. L’eau et les esprits. S’en était trop cette fois.

«Je suis là, dans ce foutu château rien que pour toi, putain ! Je… Je n’aurais jamais dû être là et à cause de toi je suis là… Si… si tu veux que tous les malheurs me tombent dessus… pourquoi… Pourquoi tu ne m’as pas laissé crever dans l’eau ? Je faisais l’un des rêves… les plus beaux que j’ai pu faire… tu étais dedans… alors mourir m’aurait tout arrangé ! Je ne serais plus dans ce fichue monde, avec tous ces faux-culs ! Casse-toi, laisse-moi crever,  oublies moi ! Tu me pose que des problèmes ! Sentiments de merde ! »

Sous la colère, je leva la main et une boule de feu sortit de ma paume droit sur elle. Je fermai les yeux, voulant tout oublier et m’assit sur le sol, les mains sur la tête. Les fantômes, Ever, la tribu, tout ça n’était qu’un cauchemar. Je me réveillerai bientôt, avec Taylor, Alizée et mes parents. Ce n‘est que lorsque je me rendis compte de mon acte que je rouvris les yeux. Il n’y avait plus personne devant moi, plus de Ever nulle part.

Je ne voulais pas encore perdes quelque chère à mes yeux… Bien que je lui avait dit j’espérais qu’il l’aurait comprit depuis longtemps… C’est lorsque soudain, comme si il avait entendus mon appelle, qu’il se releva pour cracher de l’eau, je fis les gros yeux, les joues toujours mouiller de larmes. Le soulagmeent m’envahissait tel une vague. Lorsque sa tête retomba sur mes jambes et qu’il me sourit, j’avais à la fois envie de la frapper –allez savoir pourquoi- et à la fois envie de l’embrasser, je dut me mordre jusqu’au sang pour ne pas me pencher vers lui, quel réaction il aurait ? Je l’ignorais enfaite. C’est lorsque ces yeu marrons quitta mes yeux bleue qui me fit réagir, il se rleeva à toute vitesse, tenant à peine sur ces pieds. Je me leva à mon tours et essuya mes joues mouillés, toute façon j’avais déjà les vêtement mouillé et tout alors… Quel importance ? Il observais les alentours tout paniqué, je suivis son regard et frisonna à mon tours, des murs sinistre, une rivière sombre… Pas un très beau endroit ou passer c’est vacances. Lorsqu’il pris la parole et que sa voix résonna contre les murs, je lui répondis en hochant la tête, qui ne les connaissait pas ? Beaucoup d’esprit habiterais ici… Enfaite y parait même que les âmes des perosnnes ayant commis des crimes irait ici. Je soupira et ferma les yeux, s’était qu’une histoire… Rien de plus, les fantômes n’existe pas, et voila que je dois attendre une maison sombr et abandonné pour en apprendre plus sur mon hcef, il était superticieux. Le mec parfait je disais,ahaha ! J’avais envie de rire, mais cela ferrait un peu con, car, il n’y avait pas de raison, et se n’était pas le bon moment. C’est lorsque je-re-entendis un bruit d’eau qui me fit tourner la tête, et avec horreur je constata que Alex’ avait disparrus. Je resta figer sur place ne pouvant rien faire, ou était-il passer ? Etait-il parti sans moi ? Ou bien, un frisson me parcourus, un esprit aurait put l’enlever… Je me gratta l’oreille, impossible ! Sa existe pas ! Soudain, Alex’ ressortie de l’eau totalement paniquer, qu’est-se qu’il foutait dans l’eau ? C’est lrosque je vis une ombre se glisser entre mes jambes qu’un nouveau frisson me parcourut, SA EXISTE ! Soudain, d’une vix rauque, Alex’ commença à totalement déliré à cause de la panique… Bien qu’il dise des choses méchante sur moi et que mon cœur se serra je me décida cette fois de ne pas le croire… Il était paniquer et avait peur… J’avais ressentis aussi sa lorsque Lester avait détruit la source de la Barrière d’Azur et que j’avais entendus les cris désespérer de mes camarades. Ravalant mes larmes et passant une main dans mes cheveux mouiller, je m’approche de lui, doucement. Je savais que s’était ni le bon moment, ni le bon lieu pour faire sa, mais fallait que j’essaie. Peut être le fait que je l’embrasse le calmerait ? Je ne fut pas sur de moi, je m’arrêta, mais mes pensées n’allèrent pas plus loin lorsqu’il me mentionna dans l’un de ces rêves. Il avait rêver de moi ?... Mais… Je fus encore plus perdus lorsqu’il mentionna le moment « sentiment »… Ressentait-il vraiment des sentiments qu’il regretterait d’épprouver ? Mais toute ces pensées avait baissé ma garde, une des boules de feu d’Alex’ me projeta en arrière. J’atterit le souffle couper sur le sol, une forte douleur dans le bras. Lorsque je me releva pour me tenir le bras, je remarqua la chaire à vif, brûler. Aussitôt mes yeux se remplirent de larmes lorqu’ils se posèrent sur Alex’, qui s’était assis sur le sol, sa tête dans ces mains… Je ne svaais plus quoi pensée, m’aimait-il ? Regrettait-il de m’avoir connus ? Regrettait-il de m’avoir trouver ?... Je ferma les yeux essayant de refouler les larmes et me leva. JE recula doucement de peur de me recevoir encore une boule de feu, j’avais peur de lui maintenant… je me retourna pour fuir l’endroit, j’étais largement seule finalement… Alors que les ténèbres m’entourait, je vis une petite lumière et je me pris les pieds dans quelque chose et tomba sur le sol… AÏ ! PDM MON BRAS ! Grinçant des dents, je me tint le bras malgré la douleur. Un grincement sinistre retentit… la lumière fut plus forte, c’est lorsque je me rendis compte que s’était une porte, et que je m’étais pris les pieds dans des escaliers, s’était la sortie ! Je posa un pieds sous la première marche, et hésita un moment, le regard traversant l’obscurité… Devrais-je appeler Alex’ ? C’est lorsqu’un nouveau éclair de douleur me convint que non. Je grimpa à toute vitesse l’escalier… Enfaite un peu trop… L’escalier rompus sous mesp ieds et je tomba –de nouveau-, mais se ne fut pas dans le vide, je glissais ! Dans un toboggan ! OUAH ! C’est quoi se bordel ? Une lumire me fit ferma les yeux et j’atterit le ul dans une casserole… PDM ! J’EN AIT MARRE ! C’est lorsque j’entendis des rires que je me rendis compte que se n’était pas l’œuvre du hasard… Toujours le cul dans la casserole, je vis une ombre se glisser vers moi… AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !! Je me dégagea et pris un turc au hasard, je fis lamoue lorsque je vis que s’était une ceuillière en bois… EN BOIS ! JE fis aussitôt un sourire et fit claquer mes doigts pour crâmer la ceuillière tandi que les ombres se rapprochait, l’obsucrité déteste la lumière, l’ombre fuis la lumière ! lorsque la Ceuillière fut assez cramer je l’agita comme une épée devant eux, me sentant supérieur, mais c’est lorsqu’un souffle –sortit de nulle part- éteigna mes flammes. La ceuillère tomba en cendre sur ma baskette… je pris pas le temps de la chasser, j’baandonna et je me mis à courir en hurlant « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH » dans tout le château tandis que les ombres me poursuivait ! Personnellement ! Je préférais me rouler nus dans la neige que d’être ici ! JE hurla encore plus fort lorsqu’une trappe s’ouvrit sous mes pieds et que je tomba ENCORE ! Soudain, ma ceinture se prit dans quelque chose et je fus comme un cochon pendus… à UN l’und es lustres qui couvrait les murs des couloirs, me seoucnat dans tout les sens je tanta de me libérer, mais rien. Je fis la moue… Et je sais pas pourquoi je décida d’hurler quelque chose.



« ALEX’ ! ARRETE DE BOUDER ET BOUGE TON CUL ! JE SUIS ICI !»


Mais le silence me répondis, je fis la moue… Espérons qui m’entende, je croisa les bra,s le cul toujours en l’air et accroché au lustre.

Partie. Elle était partie. Elle s’était enfuie tout ça à cause de la boule de feu que je lui avais balancée. J’avais été un idiot, je «m’étais énervé, j’avais paniqué et m’en était pris à elle. Maintenant, voilà que je l’avais perdue. Ou était-elle allée ? Sur quoi tomberait-elle ? C’était fichu, maintenant. Tout ce que j’allais retrouver c’était sa tête ou son cadavre… Oui je sais, très belle pensée mais c’était sûr que ça finirait comme ça ici. Avec toutes les légendes qu’il y avait sur les fantômes, que maintenant j’avais vu, je pourrais avaler n’importe quoi sur ce foutu château. Une déclaration, tu parles. J’avais fait tout le contraire d’une déclaration ce soir ! J’avais tout foutu en l’air, et maintenant elle allait se faire je ne sais quoi par un fichu esprit et je n’aurais jamais le temps de lui dire que je l’aimais.

« Pourquoi est-ce que ces deux fichus mots sont si durs à dire !? »

Murmurais-je en baissant la tête.
Résultat, je n’aurais absolument plus rien. Plus de famille, plus de raison de vivre. Oui, Ever était ma raison de vivre. L’espoir que j’aurais pu avoir une relation avec elle me gardait en vie. Et maintenant, tout s’était envolé. A quoi bon continuer de me battre, alors ? Si Ever se faisait tuer, ce serait mon tour. Je voulais choisir ma mort, pas que des fichus esprits la choisisse pour moi. C’était décidé, je me cassais. J’attendrais celle qui qui hantait mes pensées. Convaincu, je me laissai glisser dans l’eau, et ne battit pas des membres pour remonter. Je fermai les yeux, attendit que je manque d’air. Je revis Ever, son visage, ses beaux yeux, son caractère de chien. Le poing qu’elle m’avait mis dans la tête, l’autre jour. Allait-elle vraiment mourir ? J’eus comme une intuition, et j’étais maintenant plus très sûr de moi. Et si elle était blessée quelque part dans ce château, m’attendant ? Et que moi, comme un lâche, j’abandonnais. Valait-il mieux être malheureux et en vie, plutôt que lâche et dans cet autre monde ? À moins que… y avait-il une seule petite chance qu’Ever tient à moi ? Je sentis alors un frisson dans tout mon corps. Lorsque j’ouvris les yeux, je vis John Watson nageant face à moi. Il me regardait de ses yeux dont on arrivait jamais à trouver la couleur exacte, - ils changeaient de couleur selon le point de vue – et me souriait. Puis il me donna une tape, au ralentie à cause de l’eau, sur l’épaule comme il l’avait tant fait avant. Si j’avais peur de l’eau, c’était parce qu’il était mort dans une rivière. Il y a maintenant des années, nous étions en soirée lorsqu’un mec m’a proposé de fumer un pétard. Il avait tellement insisté, puis je n’en prenais jamais et avec mes amis autour qui me conseillais de le faire, je l’avais fumé. Résultat, c’était parti en noisettes et John s’était retrouvé bourré. Moi totalement pété, il avait ensuite conduit, nous étions dans la voiture qu’il avait eue pour ses 18 ans, pour nous ramener chez nous. Mais du coup, nous avions fini dans la rivière près de la route. Même si j’étais différent de d’habitude, oui très, je l’avais vu se noyer, coincé dans la voiture, alors que je ne sais comment, moi, j’avais réussi à m’échapper. Je m’en étais tiré, et lui, il était mort. Voilà d’où venait ma peur de l’eau, je n’avais pas de raison d’avoir honte de ça. Ça ne voulait pas dire que j’étais une tapette à ce que je sache. Enfin bref, il ouvrit la bouche pour parler, et sa voix se fit aussi claire que si on ne se trouvait pas dans l’eau.

«Tu es en train d’affronter ta peur de l’eau, tu vois. Alors affronte ta peur de l’amour. »

Ma peur de l’amour ? Mais je n’avais pas peur de ça… enfin si remarque, peut-être un peu. Un peu beaucoup d’ailleurs. Il avait raison… Je devais retrouver Ever, la sauvé, et lui dire ce que je ressentais pour elle depuis le début. Il le fallait, je ne pouvais pas abandonner comme ça. Je remontai à la surface, respira, et remonta sur le rebord. Je m’en fichais d’être trempé, je me mis à courir le long de ce que l’on peut appeler un tunnel. Je courais autant que ma force pouvait me le permettre, et pour tout savoir c’était comme ci elle s’était décuplé. Comme ci être resté dans l’eau m’avait redonné espoir et motivation.
Sauf que… ou allez ? Je m’arrêtai net. Un escalier, une étrange porte entrouverte. Devais-je monté ou passer par la porte ? Hum, mettons-nous dans la tête d’Ever un instant – même si ça devait être le bordel. Elle aurait choisi de prendre les escaliers pour remonter, sachant qu’on était tombés, non ? Bon allez, je monte. Je grimpai longuement. Je vis alors un trou dans les escaliers. Quelqu’un avait dû tomber là-dedans avant nous, car je ne voyais pas Ever assez bête pour tomber en plein dedans. Elle était intelligente et faisait attention ou elle mettait les pieds. Je fis donc le tour et continua de grimper. Bientôt, je tombai sur une porte et ouvrit doucement la poignée. Je tombai alors dans une étrange salle. Elle était très grande, avec une grande table au centre. Très longue. Mais le pire, c’était qu’il y avait de grosses bougies éclairant la pièce dessus, avec des couverts, des assiettes propres. Comme si quelqu’un avait fait le ménage, ici. Perplexe, je m’avançai et tomba alors sur un truc étrange. Au-dessus de la chaise la plus proche de moi pendait un bout de ficelle avec un papier enroulé dessus. Prudemment, je m’avançai encore. Il était « Tirez » dessus. Pourquoi ? Si je tire, ça fait quoi ? Perplexe, je décidai de tenter le coup. Oui j’étais curieux, un peu trop, mais bon. Je tirai lentement, et des confettis tombèrent du plafond ainsi qu’un long bon de papier scotché à la ficelle. Il était écrit « Bienvenue ». Euh, ok. Je me retins de rire, ce n’était pas vraiment le bon endroit. Ces esprits avaient de l’humour. C’est là que je vis une assiette se soulevait, puis une autre, des couverts, les bougies, des chaises. Je fronçai les sourcils. Euh, je ne rêve pas vrai ? Je reculai lentement vers la porte. Puis une assiette se jeta sur moi, je l’esquivai et elle se brisa contre le mur. Trop c’est trop ! Je me barrai en courant, lâchant un très long « AAAAH ». Je ratai une marche et tomba dans les escaliers, je les dévalai, et tomba bientôt dans le trou que j’avais vu au début. Un toboggan ? Je le dévalai et atterrit violement sur les fesses. Je me relevai, lorsque j’entendis des rires. What the… ? Je me tournai dans tous les sens, lorsque je vis une ombre. Sans chercher à comprendre, je partis en courant, lorsque je sentis des trucs dans les pieds. Je trébuchai et tomba à plein ventre sur le sol. Je soupirai en me relevant, lorsque je vis quelque chose de totalement étrange. Une petite fille, très petite surtout en taille, était debout juste devant moi. Je la regardai perplexe. On ne voyait pas ses yeux et elle portait une robe blanche avait un chapeau allant avec. Qu’est-ce que faisait une petite fille ici, sérieux ? Je la regardai, lorsqu’elle se mit à rire longuement.

«Y a quoi de drôle ?»

Demandais-je en boudant.
Elle continua de rire sans me répondre, et ça m’énervait. Je me levai, la fixa de toute ma hauteur. Je n’avais quand même pas peur d’une petite merdeuse. Mais là, elle leva le doigt et me pointa. Quoi ? J’ai un truc sur le visage ? L’instant d’après, je ne contrôlais plus mes membres. Je flottais dans les airs. J’écarquillai les yeux. MAIS CEST QUOI CE BORDEL ! J’essayai de me débattre, mais plus aucun membre ne m’écoutait. Je hurlai, longtemps, lorsqu’elle baissa la main et je retombai violement sur le sol. Terrifié, je me relevai trèèèèèèèèèès rapidement et partit en courant et en hurlant. Je vis une trappe ouverte et passa à côté. Pas le temps de voir ce qu’il y avait en dessous. Toujours en hurlant, je continuai de courir et ce n’est que lorsque je me pris un mur en pleine tête que je m’arrêtai pour reprendre mon souffle. Je me retournai et repensai à Ever. Je hurlai alors son nom avec toute la force que je pus. Comme je n'avais pas de réponse, je criai un autre truc vraiment très bizarre sans m'en rendre compte, et me mordit ensuite la lèvre.

«Ever je suis désolé, je veux pas te perdre, tu es ma seule raison de vivre, réponds ! »

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Je me debattis mais grimaca lorsque la douleur de ma brûlure se rependis dans mon corps. Bordel de dieu ! de Putain de Merde ! J’avais tant envie d’hurler ces paroles, mais je ne tenais pas à tomber sur les ombres de tout à l’heure. Il craignait pas le feu comme le disait les « légendes » sur cette endroit. Je fis la moue, mon appel de tout à l’heure était resté sans réponse. Une larme roula sur ma joue et tomba sur le sol sans un bruit, j’aurais put peut être l’aider à gérer sa panique suite à cette « petit » accident… Mais lieu de sa j’avais fuis, alors que s’est surement l’un des seules êtres qui puisse me comprendre… Bien qu’il soit terrien et que moi je viens d’une autre dimension, ont étaient tout deux comme orphelin bien que lui les aits connus, ont savaient tout deux la douleurs de ne pas avoir de parent. Je soupira et ferma les yeux, j’avais été une lâche, comme je l’ai été en livrant le joyaux qui était la source de la Barrière d’Azur, et aujourd’hui tout mes amis étaient morts tandis que moi j’abandonnais le seul être qui m’a donné une raison de continuer ma vie, qui m’a aidé pour me relever malgré se lourd fardeau que je porte sur mes épaules… Soudain, un craque me sortit de mes pensées et je tomba sur le sol, mon menton tapant le seule. Je fus sonner un moment, tandis que ma mâchoire resonnait de douleur… Comme si j’avais pas assez mal au bras ! Parlant de ce dernier, il saignait toujours… S’était une brûlure ouverte. Je tira sur le –reste- de ma manche et entoura ma blessure comme sa et serra le plus fort possible malgré la douleur qui me fessait serré les dents. Lorsque je me releva, je retomba aussitôt sur le sol, quelque m’avait tiré la jambe ! Lorsque j’entendis des rires, je posa mon coude sur le sol et ma joue dans ma main, et les doigts de mon autre main se promenère sur le sol poussiéreux. Ahahaha très drôle… J’avais tant envie de leur repliquer sa mais une phrase de M.Albert résonnait dans mon esprit. « Les plus intelligents sont ce qui se taisent et qui savent ignorés », cela m’aidait quelque fois… Comme là, de quoi j’aurais l’air à repliquer cette phrase ? D’une fille qui parle à des morts qui s’emmerde tellement font des farces au mondes… Qu’est-se qui doivent se faire chiez quand ya personne ! Y ofnt quoi en entendant ? Y se frappe entre eux ? Mumh… Je fis un léger sourire imaginant une baston de Fantôme… mumh, mumh … ET VOILA QUE JE METTAIS 0 SOURIRE TOUTE SEULE ! Tout en marchant je plaqua ma main sur ma figure mais c’est alors que quelque chose d’autre s’étala sur ma gifure… De la tarte… Soufflant je chassa la crème d’un coup de main… mais je ne put m’empêcher de lécher le reste sur mes doigts, mumh, elle était pas mal leur tarte ! C’est la toute première fois que je prirais pour me recevoir une tarte en pleine gueule –et surement la première au monde-, tandis que je léchais mes doigts recouvert de crème au citron un lécher cris me parvint… Je reconnus la voix d’Alex. Mon cœur explos de bonheur, tout comme il se serra, il n’avait pas abandonné… Mais aussi j’avais peur, juste à cause d’une boule de feu… Portant ma main sur mon bras je soupira et me remis en route, mais un cliquetit me stoppa net . Une grand ombre se glissait sur le mur du couloir, je recula à mesure qu’elle approchait, s’était quoi sa ? Je porta ma main usr ma bouche pour m’empêcher d’hurler lorsque le sol se dérobba sur mes pieds, mais je ne fis pas une chute libre comme avant, non j’étais tomber dans une trappe. Aussitôt un pieds nus apparut à traverse les écarts du sol. Je porta une main à ma bouche pour m’empêcha de hurler lorsqu’il sorti un poignard… mais se n’était pas sa qui me terrifiais le plus… Nan… Des poignars au manche bleue et marron entouré de ronce doré, ont ne pouvaient qu’en trouver dans mon monde… Chez les collectionneurs… Ce dernier grogna quelques chose et s’éloigna. Lorsque le bruit de son arme et de pieds disparrus, j’ouvris la trappe d’une façon brutale et me hissa hors de là et je me mis à courir. Si Alex’ tombait sur ce collectionneurs, il n’y survivra pas !

Comme je l’avais imaginé, je n’eus aucune réponse. Remarque elle n’avait pas entendu ce que je venais de dire, ça me rassurait d’un côté. Bon maintenant, ou aller ? Je fis les cents pas en réfléchissant. Puis je tournai la tête et tomba sur une porte. Euh, je l’avais pas vue tout à l’heure. J’étais aveugle peut être… Enfin bref, je tournai doucement la poignée. Brrr, il faisait noir total. J’entrai, levant les mains pour toucher ce qu’il pourrait y avoir devant moi. C’est là que je sentis quelque chose. What ? Ce n’était pas un mur, c’était bizarre. Là, je vis deux lueurs justes en face de moi. Des yeux. Je touchai le visage d’une personne… Mais un fantôme ce n’est pas censé être mort et impossible à toucher ? Je reculai en hurlant et claqua la porte derrière moi avant de me coller contre celle-ci. A quelques centimètres de moi, je pus voir une lame transpercer la porte. EUH ? Je m’éloignai dans un sursaut. Le couteau se retira lentement et je pus voir un trou. Je ne pris pas le risque de regarder à l’intérieur. La porte se secoua et je me mis à trembler. Je reculai, encore et encore, lorsque je me sentis trébucher. Je m’affalai sur le sol en me claquant le dos par terre. Ce n’est pas vrai… La porte s’ouvrit violement et un homme étrange s’approcha, brandissant un couteau. Euh c’est qui lui ? Un fou coincé ici depuis des siècles ou quoi ? Je l’observai, totalement dérouté. Il s’approcha alors de plus en plus de moi et je levai la main, envoyant une boule de feu qui le crama en plein sur le bras. Satisfait je me relevai et couru. Je me retournai un instant pour voir si ça l’avait affecté mais non, il continuait de marcher – comme s’il prenait son temps – vers moi. Ok bizarre ce type. Je vis alors la trappe dans le sol. Soit je retourne dans le tunnel et la rivière, soit je passe là. Bon, pas vraiment le choix. Je me jetai dedans sans savoir ou j’allais arriver lorsque je sentis mon T-shirt s’attacher. Ma descente fut interrompue et je restai pendue dans le vide. Je levai les yeux et put découvrir une ceinture arrachée. Hey, une ceinture pas très poussiéreuse, de fille. Surement Ever qui était passée par là ! Je me débattis, ayant retrouvé ma motivation, et mon T-shirt se craqua. Merde je venais de l’acheter ! Je continuai de tomber et atterrit bientôt sur le sol, une nouvelle fois sur le cul. Bonjour les bleus à cet endroit-là. Je me relevai finalement, lorsque j’entendis des rires. Encore la petite fille ? Oh non, pitié pas elle… Je me retournai et entendit un miaulement. Hein ? Un chat ? Je baissai les yeux. Un petit chat noir me fixait. Il était tout mignon. Je me baissai. J’adorais les chats ! Je tendis la main vers lui, lorsque je repensai à l’ endroit où je me trouvais. Un chat, ici ? Mais je n’eus pas le temps de retirer ma main qu’il se jeta sur moi et me griffa au visage. Le visage en sang, je me débattis et le rejeta. Mais lorsque je regardai autour de moi, il avait disparu. C’était incroyable, quel bordel ! Je ne pensais pas me faire un jour attaquer par un minou sérieux…
Je me tourna dans tous les sens. Un couloir. Je marchai, lorsque j’entendis des pas derrière moi. Et si c’était Ever ? Je m’arrêtai et me retourna. Je hurlai son nom mais n’eut pas de réponse. Oups, mauvaise idée, je ne crois pas que c’était elle. Je reculai alors lentement et demanda la question la plus idiote de la terre : « y a quelqu’un ? » genre la personne répondra. Je levai les mains en l’air, prêt à lancer du feu s’il y avait qui que ce soit. Un homme s’approcha alors, le même que tout à l’heure. Comment était-il descendu, lui ? Il avait un long poignard très étrange qui me fit une nouvelle fois frissonner. J’envoyai une boule de feu, mais il l’esquiva et je remarquai que son bras droit était cramé celle a la boule de feu de tout à l’heure. Il n’avait pas mal ? Il s’approcha alors de moi et jeta son couteau vers moi. Je baissai la tête et le couteau se planta dans le mur. Puis il se jeta sur moi et lui asséna – du moins j’essayai de lui asséner – un coup de poing, qu’il évita si rapidement que je ne le vis pas se glisser derrière moi. Il reprit son couteau et me l’enfonça dans le bras. Je hurlai de douleur et me débattit. Il le retira et je m’extirpai de son emprise en lui enfournant un coup de pied dans les parties intimes. Je baissai les yeux vers mon bras, la marque du passage d’une lame était bien visible et des filets de sang coulaient. Aie… Je fus aveuglé par la douleur et reçut un pin en pleine tête. Je titubai et me sentit tomber. J’en repris un autre, puis j’en sentis encore un autre. Et encore d’autres. Des coups dans les pieds, dans les jambes, dans le ventre. Ma vue se brouilla. Alors j’allais finir comme ça, tué par un homme que je ne connaissais même pas ?

Je courais toujours, malgré ma soif qui granidissait petit à petit, cela fessait combiend e temps que je courais ici ? Ou même que j’étais coincés ici ? Qu’ont était coincé ici ? Je pris la peine de m’arrêter pour reprendre mon souffle, j’avais mal au bra,s à la poitrine partout…Mais pourtant je pris la peine de me relever pour monter 4 à 4 un escalier en bois –qui cette fois s’effronda pas, heureusement-. Je revis le poignard bleue et marrin entouré d’une ronce en or… Le même qu’avait Lester, le même qui m’avait poignardé. Mais que pouvait bien foutre un Collectionneurs ici ? Malgré que se sois bizarre world je l’avoue, s’était illogique. Alex’ m’avait tant expliquer que lui et son frère et sa sœur allait receuillir se qui était en difficulté et les emmener dans Elaways, se qui sont BON. Et un collectionneurs et loin d’être bon ! Je chassa ces pensées, et les fixa sur Alex’. Je devais le retrouvé avant que LUI le trouve, car je savais bien qu’il ne survivrai pas… J’ignorais encore si nos pouvoirs les affectait, mais un point dans leur sale tronches dégrimoné n’allait pas suffir… Je m’arrêta encore une fois, les mains poser sur mes genoux, la respiration sifflante, j’avais la tête qui tournait. N’abandonne pas Ever, tu dois retrouver Alex’. Mais se fut pas cette phrase qui me fit redresser, c’est un gros boum et qui semblait de venir d’au dessus, comme si un objet venait tomber du sol. Alors que de la poussière tombais, j’entendis des pas de courses… Oh non. Je pria pour que se ne sois qu’un esprit qui fessait une farce, étrangement, ils n’étaient pas réparrus depuis quelque temps, quels bandes de lâches ! Je gonfla les joues et me remis à courir, je fisu n dérapage pour monter l’escalier qui ne fit que grinçer sous mes pats, j’allais pas me plaindre. Soudain la porte se ferma… non non ! Je frappa dessus les points fermé pour tenter de la défoncer, pas maintenant les esprits ! Un cris s’éleva, je hurla à mon tours.



« ALEX’ ! ALEXANDRE !»

Je frappa le plus possible sur la porte mais elle ne s’ouvrit pas, je me laissa glisser contre la porte et mis ma tête dans mes genoux… je n’était qu’une lâche… Je l’avais abandonné dans les souterrains, alors qu’il avait besoin d’aide… Lui est bien venue en aide à moi en m’aidant à me relever … A me refais une vie… Un sanglot monta dans ma gorge et je ne pus le retenir, comme je pus retenir ma colère j’explosa.



«LES ESPRITS !  Putain de merde, arrêtez vos farces je dois faire face à ce Collectionneurs !... Le garçon qui est aussi dans se château et la seule chose qui me reste … Je l’aime… Vous avez dut ressentir surement l’amour un jour non ? De votre vivant ? SI vous plait laissez moi sauver la seule chose qui me reste…»


Je me laissa glisser de nouveau contre la porte, pleurant, me laissant aller. Je n’avais jamais pleuré pour Penny, Icy l’orphelinat… Cela fessait du bien enfaite… Soudain, je bascula en arrière, la porte s’était ouverte, je fis les gros yeux et me releva, frottant mes habits humides pour chasser la poussière. Une ombre blanche attira mon œil, je vis une fille de mon âge au fond du couloir qui leva la main comme pour dire bonjour… Enfaite qu’une seule personne fessait sa le matin. Icy. Je sentis les larmes me monter aux yeux, non je ne devais pas craquer ! Je dirigeai mon regard de nouveau vers l’ombre d’Icy mais elle avait disparus. Je me relevai et me mis à courir. Merci Icy… Tu n’a pas eux la même chose que moi, j’en suis sur qu’elle aurait put faire une parfaite apprentie, une parfaite lieutenante même. Mes mains me brûlèrent et un désire nouveau me submergeais,  je ne voulais plus perdre personne à mes yeux… Et surtout pas Alex’. S’était décider… Je vais le retrouver et dire se que je ressens, malgré le fait qu’il puisse me rejeter. J’entendis encore un cri étouffer. Elle venait de derrière une porte… Je ne réfléchis pas, je courus vers elle et l’ouvrit d’un coup. Là, je me figea, le Collectionneurs était là, à ces pieds gisait Alex’ qui crachait du sang... Son bras était aussi recouvert de sang… Hurlant de rage je me jeta sur le dos du collectionneur qui n’a dut surement pas venue venir. Mais il était bien plus fort que moi il me jeta sur le sol, là ou je roula, le souffla couper. Je fus un moment sonné, et je vis floue.  Je voyais la forme du Collectionneurs se dirigea vers Alex’ alors qui sortait doucement sont couteau tricolore sa poche. Dans ma tête je pus réentendre la voix de M.Albert. « Il faut savoir faire des sacrifices pour sauvé se qu’ont aime ». Je fronca les sourcils, et je n’hésitai. Je me relevai tandis que les collectionneurs avait soulevé par le cou Alex’ pour le poignardé. Dans un élan je me jeta entre Alex et la lame et je la sentis plonger dans mon ventre. J’ouvris la bouche sur un cris muet… Cela fessait tant mal… Je me mis à trembler tandis que l collectionneurs lâchait Alex’. Je ne put être que soulager, j’avais réussis à le sauver…  Le collectionneur se pencha vers moi, je devais lutter pour garder une vision net et les yeux ouverts.



«Tu à perdus »


«Je suis pas la seule… »
dit-je


JE m’empara piquet pour la cheminer se trouvant sur ma droite et utilisa mes dernières force pour en faire une prochette, il laissa échapper un râle qui me fit frissonner, puis il tomba sur le sol m’entrainant avec. J’avais tellement mal… Tellement… tremblante, je retira la lame. Ma vision se fessait e plus en plus flou… Puis petit à petit, je sombrais dans les ténèbres. Je ne combattus pas... Car j'étais pas morte en vain... J'avais sauvé celui que j'aimais..., était-ce la morts ? J’en fut convaincus quand je vis l’ombre d’Icy dresser  à quelque mètre de moi  avant de sombrer.

« Papa, comment je fais pour contrôler la trajectoire ?  »

Je souri et expliqua ce qu’on venait de me demander. C’était simple, il fallait juste se concentrer sur l’objectif que nous voulions atteindre. Je lui fis une démonstration et lui redemanda d’essayer. Elle y arriva au bout de nombreux essaies et je ne pus m’empêcher de danser pour la féliciter. Qui ça « elle » me direz-vous ? Haha, si je vous le disais ce ne serait plus marrant. Hein ? Non c’est moi, Alexandre Sanders.  Avec deux ans de plus mais je suis là, toujours chef de la tribu de Feu. Oups, j’évitai une boule de feu venant vers moi. Il ne fallait pas que l’on me crame le costume que je venais d’enfiler. Je l’enguela en rigolant, puis enleva la poussière sur mes habits. J’avais passé très longtemps dans le miroir pour enfin me décider à sortir. Maintenant, je me trouvais dehors dans un des parcs que nous avions installés dans le village. Bon je vais vous dire qui est « elle », ce n’est pas ma fille. C’est une jeune apprentie que j’ai ramenée de la Terre. Elle a un très lourd passé  et je suis en charge d’elle. Elle est très jeune mais déjà très intelligente et me considère comme son père. D’où le « papa », enfin bref.  Je remis ma cravate en place. Aujourd’hui était un grand jour.  Vous allez rire, mais je vais à un mariage. Non pas le mien, mais celui d’un membre ayant la tribu il y a maintenant un an. Tombé amoureux d’une jeune fille villageoise, ils se mariaient maintenant et comme j’étais le chef, c’était moi qui devais faire celui qui dictait le discours. Je ne l’avais jamais fait, c’était le premier mariage que nous célébrons et j’avoue que c’était vraiment bizarre. Enfin. La personne que j’attendais sortit enfin de chez nous. Ever. Quelle était toujours aussi belle. Je la regardai s’approcher et lui sourit, lui murmura à quel point je la trouvais magnifique. On se dirigea ensemble vers la salle des fêtes. Je m’approchai d’elle et lui prit la main. Ça vous fait bizarre pas vrai ? Ben ouais, depuis le jour où nous nous étions retrouvés dans le château, nous nous étions avoué nos sentiments et résultats, il y avait une relation entre nous. Cool non ? Et ça faisait deux ans, je ne me lassais absolument pas d’elle. Chaque jour elle me surprenait. Bon il y avait eu énormément de haut et de bas mais au fond je l’aimais.
La fête se passa très bien. Cérémonie, puis musique et dance. C’était parfait, tous problèmes oubliés. Que vivaient les autres tribus ? Je n’en savais rien et je m’en fichais. Ils nous avaient oubliés, eh bien nous aussi. Alors que je dansais un petit slow avec ma chère Ever, je vis comme une étrange ombre derrière elle. Je fronçai les sourcils lorsqu’elle put devenir plus claire. John ? Oui, c’était lui, me fixant debout face à la foule. Que voulait-il ? Je ne l’avais pas revu depuis cette fameuse nuit au château.  L’instant d’après, il avait disparu, et réapparut juste devant moi.  Je sursautai et me sépara de Ever, ensuite je lui expliquai que j’allais aux toilettes et je disparus aussitôt. Que me voulait John ? Je m’enfermai dans les chiottes et attendit.  Je faisais les cents pas lorsqu’une ombre apparut dans le miroir. Je me retournai et lui demanda ce qu’il voulait. Il semblait inquiet et paniqué, et il me cria d’y retourner. Retourner ou ? Il me cria ensuite qu’elle avait besoin de moi. Qui ? Et que je devais la sauver, malgré le poignard que j’avais pris dans le bras. Hein ? Je n’y comprenais rien. Pourtant il insistait, jusqu’à me dire que tout ce que je vivais maintenant n’était qu’un rêve. Mort de rire quoi. Il ne m’apparaissait pas pendant deux ans et là il revenait pour me dire ça, nan mais sérieux. Et maintenant il me sortait que tous ces deux ans n’étaient que pure imagination. Je me vexai et m’énerva, puis voulut sortir mais la porte était verrouillée, je n’arrivais plus à l’ouvrir. Je hurlai un « ouvre là » mais il n’en fit rien. Il s’approcha de moi et posa sa main – courant d’air que je sentis – sur mon front. Perplexe je me laissai faire et je sentis d’étranges sentiments en moi. Il me regarda, ces yeux étaient maintenant bleus clairs, et il murmura « Réveilles-toi. » L’instant d’après, je sentis comme si je tombais, je sentis de la peine, de la tristesse, de la colère, bref tout en même temps. Je crus que ma tête allait exploser et je hurlai. Je fermai les yeux et put voir défiler ces deux dernières années. Puis ce fut comme un verre qui se casse et tout disparut. Je ressentis alors une douleur au bras et rouvrit les yeux. Je tournai la tête et put voir mon bras en sang. Mais où j’étais ? Je me retournai  et put voir Ever, totalement en sang, sur le sol. Elle avait les yeux fermés et je paniquai. Je n’y comprenais rien. Je m’approchai d’elle et prit son poux. Rien. Je me tournai dans tous les sens et reconnut l’endroit où j’étais. Le château ! Non mais ça ce n’était pas possible, ça faisait deux ans que c’était passé ça. Ever et moi avions réussis à sortir et voilà, mais elle n’était pas morte. C’était du passé pourquoi j’étais là ? Et si John avait raison, et si tout ça n’avait été qu’un rêve ? Ces deux dernières années, et si c’était encore l’un de mes foutus rêves ? Oh nan, nan, nan… Pas possible… je me mis à paniquer et rampa vers Ever. Je pris son visage entre mes mains et l’appela mais je n’eus aucune réponse. Je la secouai – un peu trop peut-être – mais aucune réaction.

« Ever, réveilles-toi !  »

Je lâcha une larme en continuant de la secouée.

« Ever ! REVEILLES TOI !  »

Toujours rien, je m’approchai encore et posa sa tête sur mes genoux en hurlant encore son nom. Sa poitrine ne se soulevait pas, rien à faire. Non, NON ! Ce n’était pas possible, elle ne pouvait pas mourir, pas maintenant !

« Ever, je t’aime ! Me laisse pas !  »

Je voulais qu’elle l’entende avant de partir dans l’autre monde. Je voulais qu’elle le sache, sinon je regretterais toute ma vie. L’avait-elle entendu ? Je l’espérais, même si je ne pouvais pas croire qu’elle était partie. Je la lâchai quelques secondes et leva les yeux vers le plafond. J’hurlai le nom du phénix, mes parents, et leur pria de m’aider. De la guérir, elle. Je les insultai, leur expliqua que si Ever mourrait, je me tuerais et il n’y aurait ni lieutenant, ni chef dans leur foutu tribu.  Puis je baissai la tête et regarda longuement Ever. Et si… ça la ferait réagir ? C’était idiot mais, je pouvais toujours essayer… Genre dans la belle au bois dormant il la réveille comme ça, je pouvais toujours tenter même si c’était vraiment con… Je me penchai vers elle, soupira, et je posai mes lèvres sur les siennes. Je restai là, comme ça, les yeux fermés, lui tenant fort la main, priant le phénix ou mes parents de la faire revenir, tentant d’envoyer dans son corps tout l’amour que je pouvais. Je me mis à pleurer, pour la première fois depuis bien longtemps, toutes les larmes que je pouvais.

« Oh lalala, désoler madame de vous dérangez !!»


« Ta dix seconde pour me lâcher…»

Dans un rire Penny me lâcha pour éviter mon coup de livre. Ont étaient assis au milieu des jardins, moi , Icy et Penny… Enfin non, elle dansait devant comme une conne, sa robe bleue virevoltant autour d’elle. Je ne savais pas du tout comment j’en étais atterris là enfaite, mais je m’en foutais, il y avait Icy et Penny –qui était en train de s’engueuler pour le dernier donuts. Je me penchai et le pris pour le manger en deux boucher, perplexe. Je leur souris tandis que j’avalais la dernière part. Icy posa ces mains sur ces hanches.

« Bouffarde !»
dit-elle

« Et dire que tu prend même pas n gramme !»
rajouta Penny fessant la moue

« C’est valable aussi pour toi… »
dis-je en retournant à mon livre

Je décidai d’ignorer le regard perplexe qu’elles se lancèrent. Je pris des notes de se que je lisais, s’était un livre sur les Phénix. Vous pouvez me dire que c’est connus pour renaître de ces cendres et c’est tout, non, il y avait beaucoup plus de truc… Il en existait trois race… Electricité, Glace et Feu… Bizarrement j’appréciais plus le feu, le feu était un signe d’espoir, s’était une protection contre le froid… Tant de chose de positif sur le feu que je ne trouvais rien de négatif appart le fait que la brûlure et l’une des souffrances les plus terrible, je frissonnai tandis que étrangement j’eux mal au bras. Une cloche me sortit de mes pensées et de mon livre, s’était l’heure du cours de M.Albert, je l’aimais bien ste prof, il était plutôt sympa et ouvert d’esprit… S’était pas le cas des autres profs… Je rangea soigneusement mon livre dans mon sac blanc et me leva pour rejoindre Icy et Penny, qui courait comme une tarée, mais étrangement Icy se retourna vers moi, ces yeux bleue illuminé par quelque chose que je connaissais pas, elle me fixait.

« N’abandonne pas Ever… Ton heure n’est pas venue…»

Je fis halte pour fixer à mon tours Icy, qui me fit un sourire et un signe de main avant de rejoindre Penny qui hurlait nos noms malgré le regarde perplexe des autres élèves. Je cligna plusieurs fois des yeux, abandonné ? Mon heure ? Quelle heure ? L’heure de ma mort ? Je regardai ma montre doré… Pas de date précise et il n’y aucun anniversaire de prévue, j’haussai les épaules et je m’avançais pour rejoindre Penny et Icy qui étaient déjà rentrées dans le bâtiment, mais quelque chose m’attira l’œil, une plume aussi rouge et enflammé que les roses de nos jardins. Je la prit dans ma main, une drôle de chaleur s’échappait d’elle… Une chaleur que j’avais déjà connus mais où ? C’est lorsque j’entendis un appelle, quelqu’un qui criait mon nom ? Quand je leva les yeux de ma plume je vis que le paysage du jardin avait disparus laissant place au noir… Seule Icy se dressait devant moi, les mains croiser derrière son dos, elle souriait tandis qu’un étrange voila de lumière l’entourait. Soudain… Tout me revint les Collectionneurs, Lester, Alex’, Elaways… Tout en lâchant plus la plume je fixais Icy qui souriait toujours.

« Se n’était qu’une vision de la mort pas vrais ?...»
dis-je presque à moi-même

« Oui… Mais se n’est pas ton heure… »


« Non ! Icy je t’en supplie laisse moi aller avec vous…»
suppliais-je

« Tu l’entends pas ?... Il t’appelle… Il à besoin de toi… »

Je baissa les yeux vers le sol –bon okay avais pas vraiment de sol- , Alex… S’était lui cette voix alors ? Je le réentendis de nouveau tandis que je basculais en arrière, je me débattis tentant de prendre la main d’Icy mais j’entendis sa voix, je l’entendis dire la phrase que j’espérais entendre un jour depuis que je suis arrivé ici, depuis quand je l’ai rencontré… C'est-à-dire que je me suis lever et tapa sa tête contre la sienne et que j’ai totalement dit qu’il était beau-gosse, que j’étais morte. Là oui je l’étais… Mais j’avais une raison pour la combattre maintenant. Je me laissai aller doucement tandis que je m’éloignais d’Icy, peut être je perdais une amie aujourd’hui… Mais ont fait toujours des choix dur dans la vie… Bien que la mort soit la paix éternelle je ne voulais pas de sa comme vie, je voulais la partager avec Alex’… Je serra la plume contre moi tandis que je continuait à tomber dans le noir totale… Puis se fut les ténèbres de nouveau… Plus rien… Avais-je réussis à combattre la mort ? C’est lorsqu’une forte douleur me frappa au niveau du ventre que je compris que oui… Quoique j’aurais préféré être morte là sur le coup… C’st lorsque je sentis une pression sur mes lèvres que je compris les derniers événements, Alex’ m’embrassait… Je sentis des fournis dans ma main qu’il serra tellement forte. C’est lorsque je me rappela de son appelle, de ces mots… J’avais eux exactement la même peur quand il a faillit se noyer tout à l’heure –enfin ya quelque heure, j’en savais trop rien…-. Mais je sais que j’aurais pas été capable de faire sa… Malgré que je sois vivante, je ne pouvais pas bouger, je me sentais faible… Incapable de bouger. Je fis la seule chose qui me vint à l’esprit. Je serra sa main, le plus fort possible que je pus et leva l’autre pour la poser sur sa joues… J’étais en vie et grâce à son appelle… Grâce à lui j’avais une raison de vivre, je l’aimais… Ont s’aimaient, mais mes dernières forces de ma courte conscience me quittèrent, ma main retomba sur le sol, mais à la place je sentis étrangement un carrelage frais avant de tomber dans l’inconscience.

Je sentis sa main sur ma joue et je crus que mon cœur allait s'arrêter de battre. Elle était vivante ! Son autre main serra la mienne et je sentis des ailes me pousser dans le dos. (C'est une image bien sur 'o'). Tout défilé dans ma tête. L'autre pute, les enfoirés de mon lycée me hurlant que jamais personne ne voudrait jamais de moi. Si Ever ne me repoussait pas en me claquant, c'était parce qu'elle était d'accord, non ? Ce que je voulais faire, l'embrasser, depuis des jours et des jours, je le faisais dans un château. C'était vachement commun, oui, oui... Au moins ça ferait qu'elle s'en souviendrait. Mais bon, devais-je croire que tout était fini dans ce château ? Il nous fallait encore sortir... Et s'il n'y avait pas de sortie ? A part en volant pour remonter par le trou d’où nous venions, je ne voyais pas comment faire... Mais bon, pour l'instant j’appréciais le moment, rien qu'avec Ever et moi. Ça se trouve j'allais lever la tête et tomber nez a nez avec un fantôme de mes deux mais pour l'instant, je ne voulais plus la lâcher. Le contact de sa main, de mes lèvres sur les siennes, tout me hurlait « Tu la lâche plus jamais, jamais. »
Mais je sentis sa main retombé et ne plus me serrer, alors je releva la tête et put voir qu'elle était tombait dans l'inconscience. Je me mis à paniquée, ne s'était-elle réveillée que pour ce moment, et maintenant allait-elle mourir sans que je ne puisse réagir ? Je la regarda longuement, les larmes dans les yeux et hurla son nom. Lorsqu'elle ferma les yeux, pour la première fois depuis longtemps, je me mis à pleurer encore et encore. Sans que je m'en aperçois, le sol s'était changé en carrelage, la lumière était devenue plus forte. J'entendis une voix, proche, trop proche pour être celle d'un esprit et tourna la tête. Debout devant moi, je vis Amanda. Oui, la guérisseuse de notre tribu. Était-ce encore l'un de ces foutu rêves ? Elle s'approcha et prit Ever par le dos, avant de la soulevée. Ou alors c'était un esprit qui venait la cherchait vers le monde des morts ? Mais lorsque je vis ce qui nous entourait, je me donna une claque. Non, c'était bel et bien chez Amanda que nous nous trouvions. Juste à coté de nous, il y avait un des lits de repos que possédait la guérisseuse. D'ailleurs, elle posa Ever dessus et l'allongea. Puis elle courut chercher ses instruments de médecine en me hurlant de sortir. Je n'y comprenais rien, mais je me leva lentement, la tête et les membres engourdis, pour aller dehors. Je retrouva facilement mon chemin, me retrouva dehors, et m'assit sur les marches de l'entrée de chez Amanda. Je posa ma tête sur mes genoux, tentant de trouver une explication a tout cela. Et si comme le rêve que j'avais fait il y a peu, ce qu'il venait de se passer au château n'était que le fruit de mon imagination, que ce baiser n'avait jamais eu lieu, et que nous étions en faite il y a trois jours, et que je l'avais blessé sans m'en rendre compte ? Mais alors pourquoi nous trouvions nous sur le sol de chez Amanda... Rha, tout se mélangeait dans mon esprit.
C'est alors que je vis un journaliste armé de son équipe venir vers moi. Je soupira et les regarda s'approcher en penchant la tête de coté. Ils me hurlèrent d'expliquer le combat que je venais d'avoir avec Ever. Un combat ? Puis une femme, très grande que je n'avais jamais vue, tenant un micro, s'approcha et m'expliqua que d'autres personnes disaient que j'avais été  chercher sur le territoire d'autres tribus, retrouvant Ever mais m'ayant battu avec des patrouilles. Euh ok, des rumeurs encore, c'est ça ? Encore et toujours des rumeurs. J'en avais vraiment marre qu'ils inventent n'importe quoi. Sur le coup de colère, je pris le micro entre mes mains, murmura un « Vos rumeurs allez vous le foutre au cul » et jeta le micro par terre avant de le faire un doigt d'honneur, puis de rentrer chez Amanda en claquant la porte. Bon, je n'aurais pas du faire ça, maintenant j'allais avoir une sacré réputation. Mais bon, ils m'avaient cherchés et puis finalement trouvés. De toute façon, la réputation, c'était la dernière chose qui m'intéressait. Ce qui me tracassait c'était que s'était-il passé avec Ever. Je décida de ne pas aller la voire tout de suite, au cas ou c'était moi qui l'avait envoyée ici pour ne pas me prendre un pin, et m'installa sur le canapé. Il fallait que je dorme un peu. Mais cette fois dormir, pas de rêve. Les rêves me fatiguaient presque autant que la vie réelle. Je voulais dormir profondément, de longues heures – sauf si Ever me réveille, qu'on me lève alors. Je m'allongea, posa ma tête sur le rebord du canapé et ferma les yeux appréciant le silence. Je m'endormis l'instant d'après.

Eh bien non, ce n'était pas l'heure de dormir profondément. Je le sus lorsque je me retrouva dans le monde Fire. Je marchais dans le feu, ne sentant aucune douleur, le ciel était rouge sang et des flammes s'étendaient a perte de vue tout autour de moi. Je vis alors une ombre et comprit qu'il s'agissait du phénix de Feu. Il s'approcha de moi et me hurla des explications pour il y a trois jours. Ne comprenant pas, je demanda qu'on me rafraichisse la mémoire, puis il déclara que je ne l'avais pas écoutée lors des mises en gardes qu'il m'avait faite ce jour là. Mais je ne me souvenais de rien... attends. Je crois que je m'étais pris un vent et que... j'étais allé au bar. Oui j'avais commandé de l'alcool, et ensuite tout était flou. Et si j'avais bu en faite ? Car tout ce que je me souvenais, c'était mettre réveillé avec aucun souvenir. Ça expliquerait pourquoi Ever m'en voulait sans que je sache pourquoi ! Je m'excusa auprès du phénix en riant intérieurement. J'avais parlé mal a celui-ci, ah bon ? Ahah. Mais lui ne semblait pas très « enthousiasme ». il me demanda si je me rappelais le rêve que j'avais fait, ou je m'étais projeté dans deux ans. Je répondis que oui avec sourire, lorsqu'il murmura que dans deux années, tout pourrait être comme ça. Sauf si on « les » arrêtaient. Et lorsque je demanda qui c'était « Les », il ne me répondit seulement de rester sur mes gardes, d'ouvrir les yeux, et de me dépêcher sur l’apprentissage des apprentis. Perplexe, je déclara que je ferais de mon mieux. Puis ce fut le vide absolu. Il n'y avait plus rien autour de moi, je ne ressentais plus aucune sensation. Le décor avait changé, il faisait tout noir. Je compris que j'avais enfin le droit d'un peu de repos et me laissa emporter.

Lorsque je me réveilla, il faisait nuit. Je sentis une étrange douleur au bras et baissa la tête. J'avais un bandage autour de celui ci. Ah oui, je m'étais pris un couteau, je ne m'en souvenais même plus de ça, tellement que j'avais oublié la douleur. Amanda avait du me soigner pendant mon sommeil. Je me leva, alluma la lumière et marcha jusqu'à la chambre d'Ever. Elle semblait dormir, sa couverture était montée jusqu'à son cou, et ses bras se trouvaient au dessus, je pus d'ailleurs voir un bandage sur le bras. Je grimaça. Je ne savais pas si c'était la réalité, mais bon. Dans le château, je me souviens que dans la panique je lui avais cramé le bras. Je m’approcha d'elle en soupirant. Quel idiot, j'avais du bien l'amochée... Je décida de m'assoir sur la chaise près d'elle, et de la veillée. Je mourrais d'envie de prendre sa main, mais ne le fit pas en me mordant la lèvre. Si la réalité n'avait pas été dans ce château, et que j'avais fait quelque chose de mal, c'était une mauvaise idée... Alors j'attendis, pendant que les heures tournaient, que ses yeux s'ouvrent.